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4 octobre 2013 5 04 /10 /octobre /2013 07:25

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http://www.france-palestine.org/Georges-Ibrahim-Abdallah-doit-etre


Georges Ibrahim Abdallah entamera le 24 octobre sa 30ème année dans les prisons fran­çaises. Empri­sonné depuis 1984, il a été condamné à la réclusion à per­pé­tuité en 1987, à la suite d’une mani­pu­lation des ser­vices français l’impliquant pour son enga­gement au sein des Forces Armées Révo­lu­tion­naires Liba­naises dans des faits pos­té­rieurs à sa détention.

Ayant effectué la totalité de sa peine de sûreté, il est libérable depuis 1999.

Après plu­sieurs rejets de ses demandes de libé­ration, il a obtenu le 21 novembre 2012 un avis favo­rable à sa demande de libé­ration, assorti d’une inter­diction de séjour sur le ter­ri­toire français. Le ministre de l’intérieur, Manuel Valls, malgré la demande du Premier ministre libanais, s’est refusé à signer l’arrêté d’expulsion, empê­chant déli­bé­rément sa libération.

Les auto­rités fran­çaises se sont ainsi une nou­velle fois sou­mises aux injonc­tions américano-​​israéliennes.

L’AFPS dénonce l’acharnement dont Georges Ibrahim Abdallah est victime.

Elle appelle au ras­sem­blement de soutien qui se tiendra à Lan­ne­mezan le 26 octobre pro­chain. (voir http://www.france-palestine.org/Rassemblement-pour-la-liberation,22272)

Georges Ibrahim Abdallah ne peut être indé­fi­niment maintenu en prison. Il doit être libéré sans délai ni conditions !

AFPS
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Association France Palestine Solidarité (AFPS)
21 ter Rue Voltaire 75011 Paris
Tél. : 01 43 72 15 79
Fax. : 09 56 03 15 79
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28 septembre 2013 6 28 /09 /septembre /2013 15:04

Plateforme des ONG françaises pour la Palestine et associations membres - LA CROIX, samedi 28septembre 2013

 

                        Négocié en secret en Norvège et endossé par les États-Unis, l’accord devait ouvrir la voie à la paix entre les peu-ples israélien et palestinien, une paix fondée sur la coexistence entre deux États, la négociation devant porter sur les modalités d’application du droit international, dans un calendrier limité à cinq ans au plus.

                     Vingt ans plus tard, les Palestiniens ont certes célébré l’adhésion de l’État de Palestine aux Nations unies, mais en tant que simple État observateur, non membre. Et la Palestine vit toujours sous occupation ; la colonisation israélienne s’y intensifie en toute arrogance et en toute impunité ; une ceinture de colonies sépare Jérusalem de son arrière-pays palestinien morcelé ; un réseau de murs annexe de facto à Israël une partie substantielle de la Cisjordanie, de ses terres, de ses ressources en eau en dépit des condamnations, jamais contraignantes, des Na-tions unies ; le contrôle israélien du territoire palestinien et des mouvements de population enclave les villes et villages, asphyxie toute vie économique et entrave toute vie sociale ou culturelle palestinienne ; la bande de Ga-za survit sous blocus ; les bombardements et les morts parmi la population civile se succèdent; les réfugiés pa-lestiniens le demeurent, génération après génération.

 

Lire la suite : http://www.france-palestine.org/20-ans-apres-Oslo-20-ANS-APRES

 

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26 septembre 2013 4 26 /09 /septembre /2013 15:25

 

Laurent Zecchini (Anata (Cisjordanie) - Le Monde 26 septembre 2013

 

                  Taha Numan, le maire d’Anata, sait que son village est un cas d’école, mais pour un phénomène peu connu : la colonisation de la Cisjordanie par l’agriculture. Du moins jusqu’au rapport que vient de publier l’expert israé-lien Dror Etkes.

 

               Cet ancien du mouvement israélien La Paix maintenant a dressé le bilan de l’activité agricole en Cisjordanie de 1997 à 2012, passant au peigne fin, par des photos satellites et des enquêtes de terrain, les 9 300 hectares exploités par Israël sur des terres considérées par la communauté internationale comme palestiniennes.

 

Lire la suite : http://www.plateforme-palestine.org

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18 septembre 2013 3 18 /09 /septembre /2013 15:17

             Au coeur du conflit au Proche Orient, Jérusalem s’est vu octroyer un statut particulier- international puis à né-gocier dans le Plan de Partage international de 1947 qui a amené à la création d’Israël en Palestine.

          

            Revendiquée par le peuple palestinien comme la capitale de son Etat, Jérusalem est depuis 1967 une ville occupée et non pas annexée, la communauté internationale n’ayant pas reconnu ces prétentions israéliennes dont la popu-lation palestinienne est soumise à des pressions israéliennes multiples afin de la contraindre à partir.

 

           L’extension des colonies autour de Jérusalem-Est et l’isolement, la ghettoïsation des quartiers palestiniens par les rou-tes de contournement interdites aux Palestiniens et le mur de séparation en sont les dernières manifestations.

 

             Jérusalem : comment partager sans diviser

Ilene Prusher, Ha’Aretz, mercredi 18 septembre 2013

 

             Au milieu des années 1990, Israël était prêt à reconnaître que certaines parties de la ville dépendraient de l’Au-torité palestinienne. Qu’est-ce qui a changé vingt ans après les accords d’Oslo ?

 

              En déclarant cette semaine que les accords de paix d’Oslo [signés entre Israéliens et Palestiniens en 1993] si-gnifieraient une capitale palestinienne à Jérusalem-Est, Ofer Shelah [ancien journaliste, élu député en 2013] a mis les adversaires de ces accords en fureur.

Comment un membre de Yesh Atid ["Il y a un futur", parti centre droit] pouvait-il ouvrir si directement la voie à un partage de Jérusalem alors que Yaïr Lapid, chef de ce parti clé de la coalition au pouvoir, dit que la Ville sainte doit rester unie sous souveraineté israélienne.

 

           Dès qu’on en vient à Jérusalem, le fossé est béant entre propos publics et privés des politiques et Shelah n’a fait que bousculer la ligne du parti.

 

Lire la suite : http://www.france-palestine.org/Jerusalem-comment-partager-sans

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13 septembre 2013 5 13 /09 /septembre /2013 07:35

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Association France Palestine

 

Solidarité Pays de Lorient

 

Comité de jumelage d’HENNEBONT

 

REGARDS SUR LA PALESTINE

 

SAMEDI 21 SEPTEMBRE A PARTIR DE 16H

 

Salle du Vallon boisé à Hennebont

 

 

A partir de 15h : accueil, visite des stands des associations organisatrices et stand de livres en présence de Bruno PILORGET et Marc ABEL et leur livre « Salaam Palestine » et leurs « Carnets de Voyages »

 

16h : Conférence débat avec Patrice BOUVERET, membre de l’AFPS, Directeur de « l’Observatoire des Armements » :

 

France-Israël quelle coopération ? Qui arme Israël ?

 

17h30 : projection du film: « Vivre en territoires occupés ». Intervention de François ALFONSI député européen : « l’Union européenne dans le conflit israélo palestinien ». Débat vers 18h.

 

19h : deux projections courtes sur Jérusalem Est et un camp de Ramallah, table ronde avec l’ensemble des intervenants : « la situation de la Palestine aujourd’hui »

 

Vers 20h : clôture de la soirée autour d’un apéritif

 

 

 

 

 

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13 septembre 2013 5 13 /09 /septembre /2013 07:23

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Le 12 sep­tembre, au TGI de Pon­toise, une nou­velle audience avait lieu dans la série des procès menés contre les mili­tants de l’appel au boycott citoyen, hon­teu­sement accusés de pro­vo­cation à la « dis­cri­mi­nation », alors qu’ils ne font que pra­tiquer et reven­diquer leur droit à l’expression d’une cri­tique déter­minée de la poli­tique de l’Etat d’Israël et que leur action a pour unique objet de faire res­pecter le droit inter­na­tional par Israël… L’AFPS, dont Jean-​​Claude Lefort, pré­sident d’honneur était cité comme témoin, renou­velle sa soli­darité avec les mili­tants qui ont été cités à com­pa­raître dans ce procès.

 

A la dif­fé­rence des audiences récentes de Per­pignan (où la relaxe a été pro­noncée depuis, le 14 août) et d’Alençon, et rejoi­gnant la position prise par la Pro­cu­reure de Paris en juin 2011, le Pro­cureur de Pon­toise a exprimé sa dif­fi­culté de trancher entre la pro­vo­cation à la dis­cri­mi­nation dont les mili­tants sont accusés et la liberté d’expression qu’ils reven­diquent. Anti­cipant par ailleurs sur le projet de loi mettant fin aux ins­truc­tions indi­vi­duelles de la chan­cel­lerie aux magis­trats du parquet, il s’en est remis à la sagesse du tribunal.

 

La décision sera rendue le 20 décembre prochain.

 

Nous voulons voir une nou­velle fois dans la position prise par le Pro­cureur, une dis­tance prise par rapport à l’amalgame scan­daleux que font les cir­cu­laires scé­lé­rates Alliot-​​Marie de 2010 et Mercier de 2012, entre appel au boycott et pro­vo­cation à la "discrimination".

 

Plus que jamais l’AFPS demande l’abrogation pure et simple de ces cir­cu­laires iniques.

 

Bureau national, le 13 septembre 2013

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 07:55

    drapeau palestine 

 

 

Programme du stand de l'AFPS - Fête de l'humanité 2013

 

Avenue Che Guevara – village du monde

 

 

http://www.france-palestine.org/Programme-du-stand-de-l-AFPS-a-la,22303

 

Samedi 14 septembre - 15h00 : Débat "Agir contre la colonisation" : avec la participation d’organisations syndicales : Solidaires, CGT et FSU (à confirmer), animé par Claude Leostic, présidente de la plateforme des ONG françaises pour la Palestine.

 

Samedi 14 septembre - 21h : Projection de trois documentaires :

 

- Présentation du village et du comité de Résistance Populaire Non Violente de Nabi Saleh

 

- « Two villages one story » : histoire des bédouins des deux côtés de la ligne verte, réalisé par l’ONG Adalah

 

- « Déni d'enfance » : travail des enfants palestiniens dans les colonies agricoles israéliennes de la Vallée du Jourdain, réalisé par l’ONG Ma’an.

 

Dimanche 15 septembre - 14h débat : "Agir pour la libération des prisonniers" avec Sahar Francis, avocate et directrice de l’ONG Addameer, Majed Bamya, Chargé du dossier des prisonniers palestiniens au Ministère des Affaires Etrangères - Etat de Palestine, et Fadwa Barghouti, avocate et épouse du député palestinien Marwan Barghouti, enfermé depuis plus de 
dix ans en Israël. Le débat sera animé par Jean-Claude Lefort, président d’honneur de l’AFPS.

 

Addameer apporte un soutien moral et juridique aux prisonniers et aux familles de prisonniers incarcérés en Israël. L’association milite pour la défense des droits des prisonniers palestiniens par le biais de nombreuses campagnes publiques, notamment en faveur des enfants prisonniers et contre la pratique de la détention administrative (pratique utilisée par l’armée israélienne pour détenir un prisonnier sans chef d’inculpation)

 

Que faire au stand de l'AFPS ?

 

Se détendre : boire une bière palestinienne Taybeh ou un thé au bar.

 

Découvrir : trouver des livres, des T-shirts, des affiches ou encore de l'artisanat palestinien.

 

S'engager : s'inscrire pour parrainer un prisonnier politique palestinien, signer une pétition, adhérer à l'association ou simplement discuter avec les militants sur place.

 

Deux thèmes seront particulièrement mis en valeur cette année : la campagne pour l’interdiction des produits des colonies et la campagne pour la libération de tous les prisonniers politiques palestiniens.

 

Vous trouverez aussi à notre stand une exposition sur les Bédouins du Neguev (Israël) et de la Vallée du Jourdain (Palestine) réalisée par l’Union Juive Fran­çaise pour la Paix (UJFP) et co-signée par l’AFPS.

 

Comme chaque année on trouvera sur le stand un espace débat, un bar, une librairie et une table de vente de matériel. Vous pourrez aussi signer les pétitions que nous proposerons ou consulter sur place les derniers grands rapports sur la question ou encore les conclusions du tribunal Russell sur la Palestine.

 

 

 

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 07:52

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Cher(e)s ami(e)s,

 

 

En juillet, le "service d'action extérieure" de la Commission européenne (= Ashton) a publié des "lignes directrices", applicables à elle-même et à tous les organes internes d e l'UE, concernant les conditions d’éligibilité des institutions et des projets issus d'Israël dans les programmes européens (Israël est le seul pays non européen à y participer, à égalité avec les membres de l'UE, et ils lui rapportent en moyenne 1,5 € par € investi).

 

 

Ces lignes directrices stipulent que ne peuvent bénéficier de subventions/prix, prêts, garanties financières que les institutions dont le siège est en Israël dans ses frontières d'avant 1967 (c'est-à-dire pas dans les colonies), et que les projets qui ne concernent pas les colonies. Elles disent aussi que tout nouvel accord (comme Horizon 2020 par exemple) devra reconnaître explicitement qu'il ne s'appliquera pas aux colonies (qui ne font pas partie d'Israël).

 

 

Tout ceci n'est que la formalisation d'une pratique constante (mais tacite) de l'UE, du fait que les colonies sont illégales en droit international et ne sont pas reconnues par l'UE comme faisant partie d'Israël, et qu'en conséquence elles ne peuvent pas bénéficier des accords UE-Israël.

 

 

Tout l'été, il y a eu un lobbying forcené d'Israël sur l'UE et sur chacun des états membres pour les faire reculer sur l'application de ces liges directrices, et le week-end dernier, Kerry s'y est joint au nom des USA en demandant qu'elle soient annulées ou suspendues pendant toutes les (pseudo)négociations Israël-OLP. Israël a même menacé de ne pas participer à Horizon 2020, ce qui semble paniquer l'UE (je me demande bien pourquoi vu que c'est Israël qui en est le grand bénéficiaire). Du coup, l'UE craque et commence à reculer.

 

 

Hier mardi, une délégation de l'UE est partie à Tel-Aviv pour voir comment les lignes directrices pourraient être appliquées "avec tact" (dixit Ashton!!!) . Le 12 (jeudi) commencent les discussions entre l'UE et Israël sur son intégration dans Horizon 2020, et en particulier sur la clause d'application territoriale qu'Israël a bien l'intention de faire disparaître.

 

 

L'AURDIP (Association des Universitaires pour le Respect du Droit International en Palestine), le BRICUP et le PACBI (ses homologues en Grande-Bretagne et en Palestine) viennent de lancer une pétition urgente, sous forme d'une lettre à Ashton pour demander l'application pleine et entière des lignes directrices.

 

 

Donc, si vous lisez ce message à temps et si vous en êtes d'accord, rendez-vous en urgence sur http://bit.ly/19Ajlv9 et signez la lettre avant la fin de la semaine, aujourd'hui si possible. Merci d'avance.

 

Vous pouvez aussi voir l'argumentaire de l'AURDIP sur http://www.aurdip.fr/Urgent-signez-la-lettre-a-l-UE.html

 

Renée Prangé

Membre du BN

 

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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 08:09

 

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ASSOCIATION FRANCE PALESTINE SOLIDARITÉ

 

8ème conférence internationale

contre le mur et l’occupation

Bil’In 2, 3 et 4 octobre 2013


La 8ème conférence internationale contre le mur et l'occupation de Bil'in aura lieu cette année les 2,3 et 4 octobre prochains. Nous n'avons pas encore le programme officiel mais nous vous l'enverrons sous peu.

Une délégation de l'AFPS sera présente à la conférence. Vous pouvez d'ores et déjà vous inscrire à l'adresse conferencebilin8@gmail.com.

Nous vous donnerons des nouvelles dés que nous aurons plus d'informations.

Amitiés
Laura
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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 07:58
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Le 19 juillet, l’Union Euro­péenne publiait des Lignes Direc­trices excluant des aides de l’Union Euro­péenne les entités israé­liennes opérant dans les colonies en ter­ri­toire pales­tinien.
              Com­mençant enfin à tra­duire ses prin­cipes par des actes, l’Union Euro­péenne se mettait en conformité avec ses propres déci­sions, notamment du Conseil des Ministres des Affaires Étran­gères du 10 décembre 2012, et avec le droit inter­na­tional qui interdit la colo­ni­sation d’un ter­ri­toire occupé et tout soutien à cette pra­tique illégale.
             Les conclu­sions de ce même Conseil des Ministres pré­cisent également pour tout accord futur entre l’Union Euro­péenne et Israël « que tous les accords entre l’État d’Israël et l’Union Euro­péenne doivent indiquer sans équi­voque et expli­ci­tement qu’ils ne s’appliquent pas aux ter­ri­toires occupés par Israël en 1967 ».
                   Sous la pression du gou­ver­nement israélien et du Secré­taire d’Etat amé­ricain, Catherine Ashton, faisant écho aux propos inquié­tants de Laurent Fabius fin août, a indiqué, à l’issue du Conseil des Ministres des Affaires Étran­gères du 6 sep­tembre que ces lignes direc­trices : "seraient appli­quées déli­ca­tement, et bien sûr nous sou­haitons pour­suivre une relation forte avec Israël". Et John Kerry invitait le len­demain l’UE à sus­pendre l’application de ces direc­tives pendant la durée … des négociations !
                 Le 10 sep­tembre, une délé­gation de la Com­mission Euro­péenne est attendue en Israël pour "dis­siper les inquié­tudes d’Israël sur l’application des Lignes Directrices".
                    Ces pres­sions pour amener l’UE à renoncer à se mettre en cohé­rence avec des prin­cipes maintes fois réaf­firmés sont insup­por­tables. L’argument selon lequel la moindre pression sur Israël met­trait en péril les pour­parlers en cours est usé jusqu’à la corde et montre à quel point ceux-​​ci sont fac­tices. Ce n’est pas en renonçant au droit inter­na­tional et à ses propres valeurs que l’on facilite le chemin vers une paix juste. Toute reculade de l’Union Euro­péenne serait jus­tement com­prise comme une capi­tu­lation honteuse.
                      L’Union Euro­péenne doit résister aux pres­sions israélo-​​américaines et appliquer de manière pleine et entière ses Lignes Direc­trices, ainsi que les conclu­sions du Conseil des Ministres des Affaires Etran­gères du 10 décembre 2012 : il en va de sa propre cré­di­bilité. Pour­suivre fer­mement dans cette voie c’est affirmer la pri­mauté du droit, seule base per­mettant de conduire à une paix juste.
Bureau national de l’AFPS, le 10 septembre 2013
http://www.france-palestine.org/Insupportables-pressions-israelo
 
 
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